Il faut savoir reconnaître quand on fait fausse route. C'est un devoir pour un artiste inspiré d'être humble, car on est tellement souvent pas humble qu'il faut bien être un peu humble parfois pour la route.
Hé hé, ouais dans les moments où je crois en moi je me dis souvent que mon travail pour l'instant incompris sera enfin reconnu dans quelques années, quand je serai soit chanteur soit humanitaire soit vieux soit mort, autrement dit quand je n'en aurai plus rien à fiche de tout ça, quoi. Ouais, j'aurai une belle anthologie éditée par L'Association avec l'accord de mes enfants. Ça aura mis le temps mais le monde saura enfin qui est LUCAS TAÏEB.
G
geoffroy
18/02/2011 23:00
Mais tu sais, je vais être vexAment frustré quand j'aurai la conviction que ton projet n'existera vraiment pas. ça pourrait devenir une bible de la génération blog/absurde/impro, à ton insu et dans 20 ans peut-être. J'y crois.
L
Lucas
18/02/2011 20:53
Heureux que ça te fasse avoir de telles envies ! C'est un peu à ça que sert ce vrai-faux projet, à faire crépiter l'imagination, tout comme "Mes meilleurs bouquins" en son temps.
G
geoffroy
18/02/2011 14:31
Moi de voir des idées comme ça, ça me donne envie de faire une grande gigantesque bédé avec n'importe quoi dedans, toute drôle, et avec quand même un fil conducteur énorme (genre on voit la vie de gens avant, après et pendant la grande révolution humaine, de gens qui en dehors de ça ont rien à voir et font que des trucs débiles - comme ton prof, là). Peut-être que le prochain Bastien Dessert partira plus en couille comme ça, avec "bastien dessert" comme prétexte de titre.